Les codes nucléaires, ou plus exactement la « mallette » nucléaire, permettent au président de la République d’activer l’arme nucléaire à tout moment, où qu’il se trouve. Il se dit que le code est placé dans un médaillon attaché à une chaîne en or qu’il doit porter sur lui en permanence. Selon la légende, le général de Gaulle dormait avec…
Après la nouvelle sortie de Monsieur Mélenchon, le lundi 7 juin 2021, lors de la matinale de France Inter, sa crédibilité comme potentiel président de la République se pose à nouveau. Ou plus exactement elle ne se pose plus. Il n’est pas crédible. Il pourrait nous déclencher une guerre nucléaire sans même s’en rendre compte !
Affirmer, sans preuves, comme il a cru bon de le faire, que des forces occultes liées au pouvoir organisent systématiquement des « meurtres » ou de « graves incidents » avant les élections présidentielles, comme cela aurait été le cas ces dernières années, est triplement absurde. De façon cynique, on peut d’abord se demander si cette affirmation non documentée permettrait un ratissage électoral si tel était son objectif caché. Évidemment, les gains électoraux éventuels ne peuvent qu’être totalement annulés, et plus encore, par la vague de protestations et de découragement suscitée par de tels propos.
Néanmoins, il ne faut pas prendre les choses à la légère. Si ces accusations gravissimes avaient le moindre fondement, il aurait été nécessaire, immédiatement, de saisir la justice, de mettre sur pied une commission d’enquête parlementaire, de mobiliser la population… Rien de tout cela n’a été évidemment considéré par Monsieur Mélenchon, et tout le monde le voit…
En dernier lieu, si les accusations de M. Mélenchon étaient vraies, pourquoi continuer de participer à une élection dont il dit lui-même qu’elle est faussée ? Ne faudrait-il pas plutôt, pour cette première raison, appeler au boycott de l’élection présidentielle ?
Certes, le tempérament de Monsieur Mélenchon lui a joué, une fois de plus, un mauvais tour. Mais nous aurions tort de limiter nos commentaires à la seule personnalité du député de Marseille. Car la cause profonde de ce dérapage tient au système présidentialiste lui-même qui, par nature, ne fait qu’encourager de telles dérives personnelles.
L’élection présidentielle au suffrage universel direct enfle les egos. Les postures et les effets de manche, les « coups » et la personnalisation à outrance sont survalorisés. Cette élection est viciée, elle est un piège pour la démocratie. Si LFI était cohérente avec sa prétention d’agir pour une VIe République, elle retirerait immédiatement son candidat et lui demanderait de prendre un peu de repos. Elle appellerait à boycotter l’élection présidentielle (blanc, nul, abstention) et à présenter des candidats « constituants » désignés non pas par Monsieur Mélenchon et ses lieutenants, mais par les comités locaux constituants qui s’installent actuellement sur tout le territoire.
La gauche et la droite sont prises dans une tenaille entre Madame Le Pen et Monsieur Macron.
La gauche est divisée sur des questions de fond (mondialisation néolibérale, Union européenne, libre-échange, financiarisation, souveraineté, chômage, laïcité…). Ces divergences n’ont aucune chance d’être réglées dans les quelques mois qui nous séparent de l’élection présidentielle. Seule une initiative forte de type désignation d’un « tiers de confiance » lui permettrait de s’accorder sur un candidat commun et une plate-forme minimum (une personnalité « neutre », non membre d’un parti). Rien n’indique cependant que l’extrême généralité d’un tel document séduirait les électeurs, d’autant que cette élection ne se joue plus sur les programmes.
Quant à la droite, elle ne dispose ni d’un candidat qui s’impose, ni d’un programme qui la distingue nettement du RN et de LREM. Elle aussi pourrait trouver une porte de sortie dans un candidat « tiers de confiance » sur la base d’un programme néo-gaulliste (arrêt de l’atlantisme, politique de la « chaise vide » avec l’Union européenne et retour de la souveraineté, renouveau de la politique arabe de la France, restauration de la politique sociale et économique issue du programme du Conseil national de la Résistance…).
Pour ces deux familles politiques, que l’élection présidentielle a rendu folles, le préalable est la renonciation par les candidats déclarés – et les autres -, à toute candidature. À défaut, leur déroute est au bout du chemin, sauf si leur électorat, passant outre l’aveuglement des chefs, s’engage dans le boycott de la présidentielle et le soutien à des candidats constituants aux législatives.
Pour notre part, nous pensons que ce boycott citoyen de l’élection présidentielle 2022, articulé à des candidats constituants aux législatives, est un projet politique salvateur.
Comme le montre encore l’incident Mélenchon, il est plus que temps de mettre un coup d’arrêt au système présidentialiste et de le délégitimer. Cette élection ne permet pas de sélectionner les meilleurs projets et les meilleurs candidats. Elle ne sert plus qu’à voter pour « faire barrage » au représentant de la famille Le Pen. Comme la probabilité de la présence d’un candidat de gauche ou de droite au deuxième tour paraît fortement compromise, le vote « utile », ou soi-disant pour le « moins pire », va intervenir cette fois-ci dès le premier tour. Cette élection est devenue une mascarade.
Ensuite, il faut arrêter d’infantiliser le peuple avec le défilé pathétique de cette cohorte d’hommes providentiels, gourous et semi-gourous, sauveurs suprêmes et autres personnalités plus ou moins déréglées. Se livrer à un président disposant de tels pouvoirs (dès lors que la majorité parlementaire lui est acquise) est le contraire de la responsabilisation des citoyens et de la démocratie. Le régime présidentialiste se transforme peu à peu en autocratie.
Enfin, il est parfaitement possible de créer un rapport de force favorable pour rebattre les cartes, si la somme des blancs, nuls et abstentions dépasse le nombre de voix obtenues par le candidat élu. Bien sûr, un candidat sera élu. Mais il faudra lui rendre la vie impossible, démonétiser sa parole parce que non légitime, ce qui n’était pas le cas pour Emmanuel Macron en 2017. Si le peuple qui boycotte est le plus nombreux, par les blancs, nuls et l’abstention, c’est lui qui sera légitime. Il aura ébranlé sévèrement la clé de voûte des institutions, il pourra se permettre de formuler de nouvelles exigences et de les exprimer.
Quant aux « petits » candidats, quels qu’ils soient, entre ceux qui ont un gros ego et ceux qui croient sincèrement que la cause qu’ils défendent gagnera en notoriété, ils se trompent lourdement et participent à une diversion. Ils se trompent, car par naïveté, ils pensent obtenir quelques passages dans les grands médias, ce qui suffira à leur bonheur. Ils participent à une diversion, car leur seule candidature vaut caution au système présidentialiste. Au lieu de le délégitimer par le blanc, le nul, l’abstention, ils le relégitiment.
On ne peut pas choisir entre la peste et le choléra
La campagne lancée depuis plusieurs années par le Parti socialiste sur le thème de la « fascisation » de la société sert en réalité à resserrer les rangs autour de la gauche, sur des bases artificielles. Elle contribue à faire peur à la population et prépare au vote Macron. Face à cette menace, il apparaîtrait alors évident que Macron serait « moins pire » que Le Pen. Pourtant, rien n’est moins sûr, et parier sur l’un ou l’autre serait fortement hasardeux. C’est ce choix – ou ce non-choix – qu’il faut refuser par le boycott citoyen.
À ceux qui vont arguer du renoncement au droit de vote que constituerait l’abstention, nous pouvons répondre que le vote n’est qu’un aspect de la citoyenneté, et que selon les circonstances il peut être nécessaire de voter ou de ne pas voter (par exemple le Hirak en Algérie). En l’espèce, voter à la présidentielle reviendrait à légitimer le système présidentialiste et le faux choix Macron / Le Pen. Nous ajouterons que le boycott se distingue de l’abstention, dans le sens ou le boycott n’est pas une action individuelle comme l’abstention, mais qu’il est une action politique collective.
Les élections de 2022 – la présidentielle comme les législatives – sont une occasion fantastique de mobiliser le « premier parti de France » que sont devenus les abstentionnistes ces dernières années. En les appelant à s’abstenir, voter blanc au nul à la présidentielle, nous donnons une perspective politique cohérente à leur insatisfaction. Nous leur offrons la possibilité de sortir de leur isolement et de s’engager dans une action collective qui se traduira ensuite, aux législatives, par leur participation au vote pour des candidats constituants. C’est ainsi que la présidentielle sera un moment « déconstituant », alors que les élections législatives seront un moment « reconstituant ». Le peuple aura fait un pas en avant significatif dans la reconstruction de son existence comme corps politique autonome. Il se sera engagé dans une véritable dynamique populaire constituante.
Bonjour,
Merci pour votre texte. Jacques Nikonoff vous a répondu et nous nous réjouissons qu’un dialogue se soit installé entre vous.
Bien cordialement.
La Dynamique
Bonjour,
Merci de votre message. En effet, des choses très positives pour le peuple figurent dans le programme de FI. Mais ce programme est inapplicable puisque la FI refuse de sortir de l’UE. Un très fort score de l’abstention, des blancs et des nuls à la présidentielle créerait dans le pays un nouveau rapport de force politique, en faveur du peuple, même si Macron ou Le Pen est élu. Au lieu de subir un coup au moral, le peuple, au contraire, sera mobilisé pour les combats nécessaires qui s’ouvriront. Quant aux élections législatives, il est vrai que leur mode de scrutin de reflète pas la diversité du pays et favorise le parti en place. Néanmoins, il existe une marge de manœuvre beaucoup plus importante qu’à la présidentielle. Elle est à saisir.
Bien cordialement.
L’équipe de La Dynamique
Bonjour,
Merci de votre message. La fin du pouvoir de dissolution de l’Assemblée nationale par le président de la République serait en effet une avancée démocratique. Mais la « demander » ne servira à rien, le système présidentialiste repose en effet sur ce pouvoir. Quant au « meilleur » candidat au premier tour de la présidentielle, nous reconnaîtrons certainement ensemble que la notion est très relative !
Bien cordialement.
L’équipe de La Dynamique
Bonjour Virginia,
Content d’avoir de tes nouvelles ! Et d’accord avec ta prospective électorale, beaucoup de choses peuvent se passer d’ici les élections. Concernant la Dynamique populaire constituante, peux-tu parler aux GJ de Nice et de Cannes pour que je vienne faire une conférence ?
Bises et à bientôt.
Jacques
Hello Jacques,
Merci pour ce texte dont l’angle d’attaque défrise et vaporise ! La Bombe !
Cet aspect – avoir le doigt sur le bouton nucléaire – est certes important. D’autant plus que nous avons actuellement un président qui est mentalement instable et dont l’addiction à la cocaïne devient de plus en plus évident pour qui sait observer. L’autre pendant serait que Macron soit tout à fait capable de se défaire de cette responsabilité en confiant notre siège au Conseil de Sécurité de l’ONU et notre outil de dissuasion nucléaire à l’UE et donc, à l’Allemagne. Hitler en aura rêvé, Macron l’aura fait…
Au-delà de cet aspect, effectivement, JLM, s’il n’est pas encore au stade de sénilité avancée d’un Joe Biden, donne des signes inquiétants de changement de personnalité. Il n’est assurément plus le même que celui de 2012. J’avais déjà trouvé sa campagne de 2017 lénifiante et édulcorée par rapport à celle de 2012. Mais bon. En tombant dans le panneau de la gifle, il confirme son allégeance au pouvoir en place. Il n’est pas le seul d’ailleurs à s’être fait castrer politiquement par Macron ces derniers jours. A manquer d’analyzer les raisons de la colère populaire – renforcées par l’absence de débat véritable dans notre société politiquement bloquée – JLM se place résolument du côté bien-pensant du pouvoir. Ce faisant, il s’aliène les Français les plus fragilisés par les politiques de mondialisation néolibérales, et qui sont de plus en plus nombreux à cause de la politique de Macron et la crise du covid.
Sur la question du boycott, plus que jamais je suis d’accord avec cette stratégie. C’est une chose d’être élu avec +50% des voix et 70% de participation. C’en est une toute autre que de l’être avec uniquement 20% des voix des inscrits… Je crois en les vertus du boycott car il s’agit d’un acte politique et conscient. Pas un effet de la négligence ou de l’indifférence. Bien au contraire.
Quelques hypothèses que je soumets sur les avenirs possibles quant à ces élections toxiques pour notre pays :
1 – une resucée de 2017 : Macron vs MLP. Pas sûr que la martingale fonctionne encore. +16 millions de nos concitoyens (dont ma pomme) n’avaient pas marché dans cette combine lors du 2nd tour. Je ne les vois pas se décider sur une autre ligne au 2nd tour de 2022.
2 – Macron ne se représente pas et là tout est permis question prospective politique ! A vos boules de crystal !
3 – Les puissances qui ont mis en place Macron en 2017 se décident sur un autre cheval et utilisent Macron pour faire élire quelqu’un d’autre… Avec Macron cette fois dans le rôle de repoussoir. En face, je vois bien Jadot (pour les Khmers Verts) ou Christine Lagarde (pour achever la destruction de notre pays via l’euro). Je penche pour la 1ère possibilité : Jadot, car cet Automne, ce seront les élections en Allemagne et les Verts allemands auraient la cote. Je n’ose même pas imaginer un tandem vert France/Allemagne. Là, c’est bon, on serait foutu ! Lagarde reste possible : après tout, Attali a dit que ce serait une femme. Sa boule de crystal est assez performante. Normal : c’est lui le faiseur de rois.
Ce ne sont là que des avenirs possibles, des hypothèses. L’avenir prouvera les paroles et écrits passés.
Dans tous les cas, les classes dominées dont nous sommes des membres distingués, nous n’auront pas voix au chapitre, une fois de plus.
Le boycott me paraît donc d’autant plus nécessaire, que les élections US, que j’ai suivies d’un bout à l’autre, ont parfaitement démontré qu’il est possible de truquer les élections de tout un pays, de manière systématique. J’ai toujours été étonnée du score de Macron en France, de l’élection de Trudeau au Canada ou de Netanyahoo en Israel, pour ne citer que ces pays. Aux USA, j’ai suivi la nuit électorale et j’ai vu de suite qu’il y avait maldonne.
Parfois, il n’est pas suffisant de dire. Il faut montrer les choses. Et c’est seulement une fois au bord du précipice, que nous trouvons la force de changer. Je pense que les Français ne sont pas loin du précipice. Certains l’ont même déjà atteint et d’autres sont même déjà tombés dedans.
Pourquoi ne pas demander plus simplement le retour à la situation d’avant Jospin, avec fin du pouvoir de dissolution de l’AN par le PR?
Et je voterai tout de même pour le meilleur candidat au premier tour!
il n’a pas dit que des forces occultes liées au pouvoir organisent systématiquement des « meurtres » ou de « graves incidents » avant les élections présidentielles,
il a voulu dire (maladroitement?) que des forces absolument pas occultes exploitaient systématiquement des « meurtres » ou de « graves incidents » avant les élections présidentielles, Acrimed en rend d’ailleurs compte régulièrement.
et il reste qu’aussi détestable que soit le personnage la FI est le seul parti avec un programme de transformation économique et environnementale
le vote blanc serait certes une solution, mais il n’est pas reconnu
et n’être élu qu’avec un très très faible pourcentage de voix ne gênerait aucun des candidats
quand à compter sur des « participation au vote pour des candidats constituants » aux législatives, ce serait comme vous dites « voter aux législatives reviendrait à légitimer le système électoral » qui est totalement manipulatoire.
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Sauver Notre Humanité et sauver la planète
(Les Gilets Jaunes des ronds-points de Caudan et de Lanester)
Il existe un nouveau paradigme pour remplacer ce système OLIGARCHIQUE et CORROMPU, dont Bernard MARRIS, économiste, exprimait en 2011 l’urgentissime nécessité en citant Albert Einstein :
« On ne résout pas un problème avec les modes de pensées qui l’ont engendrée »
Il faisait référence à la Chine qui n’a pas besoin d’individu citoyen, la Chine a besoin d’individu consommateur
Et citait Tocqueville :
« La foule innombrable d’hommes semblables et égaux qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs dont ils emplissent leurs âmes le pouvoir aime que les citoyens se réjouissent pourvu qu’ils ne songent qu’à se réjouir »
Et les Gilets jaunes ont traduit cette citation par cette expression :
Travail, consomme et ferme ta gueule
Et bien je crois, disait Bernard Marris, que la menace Chinoise c’est aussi la menace de ce monde apolitique où se sera le dictateur bienveillant qui décidera de la consommation des masses et que le chercheur à un rôle éminentissime à jouer pour éviter de participer à l’avènement du despotisme bienveillant.
Et il poursuivait ainsi, le luxe est hélas, inégalitaire et hélas improductif et il n’est pas démocratique non plus, donc voilà le paradigme qu’il nous faut trouver, cette grande contradiction il faut marier la production avec le luxe, avec le livre de la nature et il faut réconcilier le luxe et la démocratie.
Mais n’était-ce pas déjà l’interrogation de cet homme qui en 1789 prononçait ces paroles :
« Le peuple ne demande que le nécessaire, il ne veut que justice et tranquillité ; les riches prétendent à tout, ils veulent tout envahir et tout dominer. Les abus sont l’ouvrage et le domaine des riches, ils sont les fléaux du peuple : l’intérêt du peuple est l’intérêt général, celui des riches l’intérêt particulier. » Robespierre
La France est devenue une démocratie défaillante dans laquelle un homme seul décide de nos vies.
Pour 2022 nous voulons L’UNION NATIONALE DES CITOYENS pour élire un Président qui s’engage à présider (comme en cohabitation) laissant les pleins pouvoirs au 1er Ministre sous le contrôle du Parlement.
Ce(tte) candidat(e) aura pour seul programme un changement de modèle de société défini dans cette Loi référendaire de juin 2022, Loi qui sera soumise au peuple en même temps que les élections législatives.
Pour la rédiger, nous avons repris cette formule de Warren Buffett, milliardaire Américain qui dit ceci : « Transmettre à ses enfants pour qu’ils puissent faire ce qu’ils veulent, mais pas suffisamment pour qu’ils puissent ne rien faire »
Pour nous, gilets jaunes des ronds-points de Caudan et de Lanester, l’héritage maximum, c’est 55 ans du salaire annuel minimum soit 1 million d’euros avec suppression des frais de successions jusqu’à 600 000 euros. (Attention il s’agit du cumul des sommes perçues tout au long de sa vie en héritage ou en legs et non des sommes données)
L’entreprise partie prenante de la réserve héréditaire au même titre que les enfants : Cette disposition ne peut être mise en œuvre qu’après que chacun des enfants aient perçu l’héritage maximum (1 000 000 euros) ce qui permet de transmettre les entreprises familiales aux enfants (petites entreprises, commerces ou fermes familiales)
Ainsi les salariés héritent de la propriété sociale de leur entreprise sans taxe sous forme de coopérative ou de holding de salariés pour les grandes entreprises ou les multinationales.
Et le reste de leur fortune les oligarques en font ce qu’ils veulent moyennant le paiement d’une taxe de 70% minimum (actuellement elle est de 60%)
Le produit de cette taxe, pour renforcer la LIBERTÉ d’ENTREPRENDRE, permet de doter en capital tous les jeunes adultes de 40 000 euros déposés sur un livret spécifique, disponible à 25 ans, mais accessible dès 18 ans sur présentation d’un projet professionnel.
Cette somme de 40 000 euros représente le montant de la dette par habitant que l’on laisse sur les épaules de nos enfants.
Ce Président appuiera toute demande du parlement favorable à un référendum constitutionnel instituant le RIC constituant.
Et pour conclure nous citerons la célèbre formule de Victor Hugo :
« Il existe une chose plus puissante que toutes les Armées du monde, c’est une idée dont l’heure est venue »