Par Jacques Nikonoff
Selon l’article 2 de la Constitution « La langue de la République est le français ». Or le système de Bruxelles envoie désormais des textes aux administrations françaises non traduits et leur impose de répondre en anglais. C’est contraire à la Constitution. De deux choses l’une, soit le pouvoir propose de réviser la Constitution pour éliminer cet alinéa, en explique pourquoi ; soit on applique la Constitution en créant les conditions pour y parvenir. L’action en faveur du respect du français et du développement de la francophonie fait partie intégrante du projet de Dynamique populaire constituante, pour la réappropriation par le peuple de sa langue face à l’impérialisme linguistique anglo-saxon et bruxellois.
Une lettre ouverte au Président de la République, a été adressée le 14 septembre 2020, par le Haut Conseil de la Langue française et de la Francophonie, dont je suis membre, pour lui demander d’informer l’Union européenne que les administrations françaises ne travailleront plus sur des documents de l’UE non traduits et ne répondront plus en anglais.
Le Haut Conseil de la Langue française et de la Francophonie (HCLFF) a été créé le 18 juin 2020 à Paris. Sa lettre ouverte au Président de la République est signée de ses cent personnalités membres, dont la liste figure ci-dessous. Elle concerne la place post-Brexit du français et des autres langues officielles et de travail de l’Union européenne. Le Haut Conseil de la Langue française et de la Francophonie demande solennellement au Président d’informer officiellement le Conseil de l’Union européenne de la décision de la France de tenir compte du départ du Royaume-Uni, en :
– refusant que les administrations françaises soient contraintes de travailler sur des documents de l’UE non traduits, et d’y répondre uniquement en anglais ;
– demandant que le Conseil revienne à l’esprit du règlement linguistique n°1 de 1958 modifié, et fixe lui-même le statut post-Brexit des langues officielles et de travail en Conseil des Chefs d’État, qui doit se prononcer à l’unanimité.
Avenir de la Langue française, 34bis, rue Picpus,75012, avenirlf@laposte.net et 23 autres associations
Lettre ouverte au Président de la République française
Septembre 2020
A Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République
Palais de l’Élysée, 55, rue du Faubourg Saint-Honoré 75008
Monsieur le Président
Les personnes et associations portées dans la liste jointe se sont constituées le 18 juin 2020 en un réseau informel de la société civile française : Haut Conseil pour la Langue française et la Francophonie, afin de veiller collectivement à une meilleure application de la Constitution par tous les acteurs français. D’abord de son article 2 : « La langue de la République est le français », puis de son titre XIV, article 87, sur la participation de la France à la Communauté francophone.
Nous avions accueilli en 2017 avec un vif intérêt vos engagements de candidat pour le français et la Francophonie. De même le 20 mars 2018 lorsque, dans la présentation de votre politique, vous reprîtes les propositions des associations et leur projet (lancé en 2001) d’« Institut de la Francophonie » à Villers-Cotterêts, dont vous avez bien mis en place les moyens humains et financiers nécessaires à son inauguration en 2022.
Les signaux contraires émis en même temps par vous-même ont été publiquement critiqués, y compris par les associations. Mais nous avons voulu croire qu’ils ne l’emporteraient pas sur votre rôle et votre volonté de Président de promouvoir les intérêts fondamentaux de la France et de sa civilisation. Ainsi nourrissons-nous l’espoir que vous les ferez prévaloir face à des évolutions dangereuses, dont la plus immédiate découle du vote du Brexit du 23 juin 2016.
Le Conseil de l’Union a adapté aux nouveaux entrants son règlement n°1 de 1958 sur les langues officielles et de travail. Après le Royaume-Uni, l’Eire fut le seul à déclarer l’anglais langue officielle pour l’UE, mais ajouta son gaélique. Le Conseil ne peut ignorer que le Brexit fragilise le statut actuel de l’anglais officiel, et surtout de travail.
Or, un puissant mouvement s’est développé pour, au contraire, le conforter. Voire le promouvoir comme « langue commune » de fait. En invoquant sa domination conquise depuis 46 ans grâce à l’opiniâtreté des nouveaux, et au laxisme persistant des anciens. En osant même plaider que l’anglo-américain deviendrait « neutre » en UE : une sorte de commode et consensuel « volapük ». Mme Ursula von der Leyen ne donne-t-elle pas déjà le ton à Bruxelles en n’employant plus guère que l’anglais, « hégémon » mondial, sans réaction française.
Monsieur le Président, c’est d’abord de la France qu’est attendue partout l’opposition à cette « langue commune », réduisant à une les trois « de travail » du règlement n°1.
Vous en avez le pouvoir. Le moyen consisterait à informer officiellement le Conseil de l’UE de la décision de la France de tenir, pour sa part, compte du Brexit, en :
– ne souffrant plus que ses administrations soient contraintes de travailler sur des documents de l’UE non traduits, et d’y répondre uniquement en anglais ;
– demandant que le Conseil revienne à l’esprit du règlement n°1, et fixe lui-même le statut post-Brexit des langues officielles et de travail en Conseil des Chefs d’État.
Monsieur le Président, votre position aura des effets et un retentissement considérables. Elle peut se hisser à la hauteur des grands « non » lancés au nom de la France : 1940 à la capitulation ; 1944 à l’AMGOT, 1966 à l’OTAN militaire, 2003 à G.W. Bush en Irak ; 2005 à la « Constitution européenne » cette fois par le peuple lui-même.
Monsieur le Président, à votre tour, vous tenez en vos mains le destin de la France. Pour le français, les cultures en Francophonie, et pour l’Europe, vous seul pouvez dire « non » aux menées impériales, soutenues par certains milieux français.
Monsieur le Président, nous vous en prions : empêchez cette promotion post-Brexit de l’anglais à Bruxelles ! Elle serait un abandon d’intérêts fondamentaux, une forfaiture au regard des devoirs de tous les États membres d’affirmer leur langue nationale, surtout lorsqu’icelle a une dimension mondiale. Elle serait un « écocrime » de l’Union contre la diversité des langues et cultures, donc contre la civilisation.
Veuillez, Monsieur le Président, recevoir l’expression de notre vif espoir en votre volonté et votre pouvoir d’agir, et de notre très haute considération.
Liste des membres de la section française du
Haut Conseil international de la Langue française
et de la Francophonie
au 12 septembre 2020.
Les noms des inscrits confirmés sont en vert
Représentants des associations porteuses du projet :
A-1) associations françaises :
Alliance Champlain (Nouméa – Nouvelle-Calédonie) :
Daniel Miroux, président, journaliste,
Académie de la Carpette anglaise et du Tapis rouge :
Deux représentants à désigner
Association des Écrivains Combattants (AEC)
Alfred Gilder, secrétaire général, ancien chef de mission du Contrôle général au ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, nombreux ouvrages, « Et si l’on parlait français ? » (1993),
Association francophone d’Amitié et de Liaison (AFAL) :
Deux représentants à désigner
Association Francophonie Avenir (AFRAV) :
Régis Ravat, président, cadre d’entreprise de grande distribution, responsable syndical (100)*,
Thierry Saladin, médecin, vice-président (100)*
Avenir de la Langue française (ALF) :
Albert Salon, fondateur et président d’honneur, docteur d’État ès lettres, ancien ambassadeur, essayiste « Une volonté française », membre de l’Académie de la Carpette anglaise et du Tapis rouge, (100)*,
Chrystel Guène, correctrice d’édition,
Association Lire-Écrire
Fréderic Prat, ingénieur, président de Lire-écrire, Carrefour des Acteurs sociaux (CAS)
Joël Broquet, fondateur et directeur,
Catherine Distinguin, juriste d’affaires retraitée, directrice du Pôle Francophonie, vice-présidente d’ALF
Cercle d’Études et de Réflexion sur le Monde francophone (CERMF)
Ilyès Zouari, fondateur et président, essayiste sur la francophonie mondiale, membre de l’Académie de la Carpette anglaise et du Tapis rouge,
Cercle littéraire des Écrivains cheminots (CLEC)
Philippe Deniard, président,
Collectif « Non au tout-à-l’anglais ! Non à l’anglais partout ! »
de Résistants en France et en Francophonie
Valérie Faisien, graphiste, poétesse, présidente fondatrice
Conseil international de la Langue française (CILF)
Hubert Joly, secrétaire général, ancien administrateur de la France d’Outre-mer, diplomate, terminologue, créateur de dictionnaires spécialisés,
CO.U.R.R.I.E.L
Matthieu Varnier, secrétaire général, ingénieur roboticien
Défense de la Langue française (DLF)
Marceau Déchamps, secrétaire général
Défense de la Langue française en pays de Savoie
Philippe Reynaud, président (100)*
Lucien Berthet, secrétaire général (100)*
Droit de Comprendre (DDC)
Marc Favre d’Échallens, président, cadre d’entreprise, président de DLF-Île de France, secrétaire général de l’Académie de la Carpette anglaise et du Tapis rouge
Entente de l’Île de France-Québec
Serge Dubief, président, et président d’Essonne-Québec, animateur des Groupes de Réagissants à l’Anglo-Américanisation abusive de la Langue(GRAAAL),
Forum pour la France (FPF)
Henri Fouquereau, secrétaire général,
Françoise Zemmal, documentaliste
Francophonie Force Oblige (FFO) Francophonie sans Frontières (FsF)
Alain Ripaux, président, essayiste (100)*
Francophonie sans Frontières (FsF)
Un représentant à désigner
Institut Culture, Économie, Géopolitique (ICEG)
Yves Montenay, président, entrepreneur, professeur à l’ESCP (« Sup-de-Co »), vice- président d’Avenir de la Langue française (ALF), créateur et éditeur de la revue « Regards sur le monde musulman », (100),
Paris-Québec
Bernard Émont, président, ex-haut fonctionnaire européen, Directeur du Centre universitaire d’Études sur le Québec et la Francophonie d’Amérique du nord (CEQFAN)
Observatoire européen du Plurilinguisme (OEP)
Un représentant à désigner
République exemplaire
Michel Le Net, administrateur, ingénieur général honoraire des Ponts, essayiste, président honoraire du Cercle d’éthique des Affaires
A-2) associations hors de France :
A-2-1) Suisse romande :
Langue française
Philippe Carron, président
B) Personnalités représentatives du secteur des politiques linguistiques et culturelles :
Académie française
Jean-Marie Rouart, nombreux ouvrages, notamment sur le Premier Empire,
Académie des Sciences d’Outre-mer
Pierre Gény, secrétaire perpétuel,
Académie tahitienne
Flora Aurima Devatine, directrice, ancien professeur d’espagnol et de langue tahitienne, poétesse de langue tahitienne et de langue française, lauréate du prix Heredia de l’Académie française.
Grandes institutions et associations françaises et internationales qui portent l’action pour la Francophonie, et l’action linguistique et culturelle de la France et d’autres pays de langue maternelle française dans le monde
dans l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF, 19, avenue Bosquet à Paris) contact@francophonie.org et facebook : @OIFrancophonie :
(à compléter)
Hauts fonctionnaires engagés personnellement pour le français
et la diversité linguistique et culturelle
Pascal-Raphaël Ambrogi, inspecteur général de l’Éducation nationale
Patrice Cahart, inspecteur général des Finances, ancien directeur de la Monnaie à Paris, ancien président de la commission de terminologie du ministère des Finances,
Guy Dalens, ancien chef de service à la direction de la Concurrence au ministère des Finances, membre d’ALF,
Serge Duhamel, ex-Inspecteur général de l’Éducation nationale, ancien trésorier d’ALF,
Jacques Myard, diplomate, maire de Maisons-Laffitte, membre honoraire du Parlement, président de l’Académie du gaullisme et du Cercle Nation et République,
Christian Philip, professeur de droit, recteur honoraire, président de la Maison de la Francophonie de Lyon
Pierre-André Wiltzer, Conseiller d’État honoraire, ancien député-maire, ancien ministre délégué à la Coopération et à la Francophonie,
Maurice Zinovieff, ancien secrétaire général du Haut Comité français de la Langue française, puis de la Délégation générale à la langue française (DGLFLF), président du Comité orthodoxe des Amitiés françaises dans le monde.
Avocats et juristes familiers des aspects juridiques
des politiques linguistiques :
Jean-Claude Amboise, docteur en droit, avocat à la cour d’appel de Paris, spécialiste du droit de la langue française, attitré d’ALF, DLF, DDC…
Olivier Gohin, professeur de droit public, constitutionnaliste, faculté de droit de l’université Paris2, Panthéon-Assas,
Jacques Legendre, ancien ministre, sénateur honoraire, rôle important dans l’introduction en 2008 de la Communauté francophone dans la Constitution française (titre XIV, art. 87),
Roland Sanviti, avocat à la Cour d’Appel de Paris, administrateur de « Justice et démocratie », président du « prix Falcone »,
Étienne Tarride, avocat, membre du Forum pour la France,
Syndicalistes qui militent pour l’emploi du français
dans le monde du travail
Régis Ravat, président de l’AFRAV précitée,
C) Créateurs, producteurs, diffuseurs et ciseleurs militants de la langue française :
Poètes
Daniel Ancelet, vice-président de l’Académie de la Poésie française (APF), lauréat de l’Académie française, président Prix Renaissance de poésie,
Rina Dupriet, poète, essayiste, maire adjoint du Buc, présidente de l’association internationale des CCES, présidente du Cercle Soroptimiste qu’elle représente à l’UNESCO,
Thierry Sajat, éditeur, président de l’Académie de la poésie française,
Écrivains, romanciers, essayistes, éditeurs
Alain Borer : universitaire, écrivain, essayiste, rimbaldien et auteur de « De quel amour blessée – Réflexions sur la langue française » (Gallimard 2014), (100)*,
Gérard Cartier, ancien ingénieur, auteur et poète, site « Au Monomotapa » (100)*,
Jean-Michel Delacomptée, écrivain, plusieurs prix littéraires, dont de l’Académie française,
Benoît Duteurtre, écrivain, prix de l’Académie française, membre de l’Académie de la Carpette anglaise et du Tapis rouge,
Bernard Lecherbonnier, essayiste, auteur de « Pourquoi veulent-ils tuer le français ? »,
Michel Mourlet, écrivain, critique de littérature et de cinéma, responsable d’émission radiophonique sur le français,
Jean Roux, expert-comptable, essayiste,
Linguistes, terminologues, traducteurs et interprètes
Jean-Paul Cossart, entrepreneur, terminologue, vice-président d’ALF,
Alfred Gilder, écrivain, essayiste, nombreux ouvrages sur le français, « Dictionnaire franglais-français », « Alerte francophone »,
Denis Griesmar, traducteur, ancien vice-président de la Société française des Traducteurs (SFT),
Claude Hagège, professeur au Collège de France, « Halte à la mort des langues », « Combat pour le français », « Contre la pensée unique »,
Julia Kristeva, professeur de langue et littérature à l’université Paris7,
Professeurs de français et de lettres
Suzanne Coirint-Loff, ancien professeur de français à l’université de Lisbonne, résidente au Portugal,
Bruno Dewaele, agrégé de l’université, champion du monde d’orthographe, rubrique régulière de langue française à La Voix du Nord, et revue Lire,
Bernard Leconte, professeur agrégé de lettres, écrivain, chroniqueur du « bon français » dans divers media, pamphlétaire, humoriste,
Philippe Prudhomme, professeur de lettres et d’histoire, président-fondateur de l’association Les amis de Bougainville à Papeete, Tahiti (100)*
Monde de la musique
Alain Fantapié, ex-Haut Comité de la Langue française, président de l’Académie Charles Cros,
D) Militants et sympathisants du français et de la Francophonie dans divers secteurs d’activité :
Collège de France
Claude Hagège (voir la rubrique « linguistes, terminologues…)
Corps médical
Roger Caporal, médecin endocrinologue, Consultant des Hôpitaux de Paris, écrivain,
Chercheurs scientifiques
Nicolas Bacaër, chercheur à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD),
Christian Darlot, chercheur ENST, militant ALF, auteur d’une étude-plaidoyer sur le français dans les sciences,
Charles Durand, informaticien, ancien directeur – pour l’AUPELF-UREF – de l’Institut international d’Informatique (IFI de Hanoï), essayiste militant ALF pour le français scientifique,
Jean-Pierre Luminet, astrophysicien, directeur de recherche au CNRS (100)*, labos d’astrophysique de Marseille et Observatoire de Paris,
Laurent Lafforgue, mathématicien médaillé Fields,
Universitaires et chercheurs d’autres disciplines
Jean-Louis Chédin : universitaire, professeur de philosophie, administrateur d’Avenir de la Langue française (ALF),
Francis Gandon, docteur en sociologie, docteur d’État en sciences du langage, diplômé d’études politiques, professeur honoraire à l’Université de Caen, ancien enseignant aux universités de Tananarive et Tuléar,
Christophe Réveillard, universitaire,
Ralph Stehly, professeur émérite d’histoire des religions et islamologie, de l’université de Strasbourg (100)*
Françoise Tétu de Labsade, ancien professeur de civilisation et de littérature québécoise à l’Université Laval du Québec,
Chefs d’entreprise, économistes, consultants
Nadia Antonin, économiste, ancien haut cadre de la Banque de France, membre de commissions ministérielles de terminologie, et de l’Académie des Sciences Commerciales,
Patrice Bersac, cadre supérieur d’entreprise,
Alain Diter, docteur en génétique, chef d’entreprises en Polynésie française, vice-président de l’association Les amis de Bougainville, à Papeete,
Jacques Nikonoff, administrateur civil, économiste, professeur associé université Paris 8, membre fondateur de la Fondation Marc Bloch, ancien président d’Attac et du Parti de la Démondialisation (ParDem), animateur de La Dynamique.
Gilbert Puzy de Lafayette, consultant, descendant du marquis de Lafayette de la guerre d’indépendance des États-Unis,
Marc Rousset, économiste,
Militaires officiers supérieurs et généraux
Alain Corvez, colonel (2S), consultant en stratégie, membre du Forum pour la France,
Amiral (2S) Michel Debray, ancien pacha du porte-avions Foch,
Claude Gaucherand, amiral (2S), écrivain,
Jacques Hogard, colonel (2S),
Claude du Trémolet, général (2S), président de l’Amicale de l’École militaire de Haute-Montagne, qu’il a dirigée,
Journalistes
Bernard Cassen, ancien directeur général du Monde diplomatique, président d’honneur d’Attac, et secrétaire général de l’association Mémoire des luttes,
Michel Feltin-Palas, l’Express, spécialiste du français et des langues régionales, auteur de la lettre d’information « Sur le bout des langues », (100)*,
Arnaud Galy, rédacteur en chef d’Agora francophone internationale (plateforme internet) et de l’Année francophone internationale (AFI, revue papier),
Loïc Hervouet, administrateur de l’Année francophone internationale, vice-président de l’ONG Actions Medias francophones, Africamedias, site: www.actionsmediasfrancophones.fr
Vincent Hervouët, ancien responsable info de LCI, chroniqueur sur Europe 1,
Michel Mourlet, écrivain, critique de littérature et de cinéma, journaliste de radio,
Professions diverses
Me Jean-Claude Amboise (avocat (cf. partie B), chargé de cours en droit d’auteur et dans le droit du spectacle, conférencier sur la chanson française à l’étranger,
Marc-Antoine Bécue, sitemestre d’associations pour le français,
Gérard Charpentier, docteur en sociologie, psychanalyste spécialisé dans les processus d’intégration interculturelle, spécialiste des peuples francophones,
Sophie Chevreuse, ancienne trésorière, directrice administrative et financière, et DRH, de l’Union latine créée à l’initiative de Philippe Rossillon, puis trésorière d’ALF depuis 2015,
Lionel Cudennec, ancien du ministère de la Jeunesse et des Sports, fonctionnaire du ministère de l’Intérieur, spécialité de droit public, militant pour le français,
Laure Fouré, haut fonctionnaire des Finances, conseillère juridique des associations pour le français,
Mohamed Larbi Haouat, docteur d’État, président d’ASILEC, vice-président de l’AFAL (et son représentant à l’UNESCO),
Laura Françoise Lebeau, consultante, chargée de mission Francophonie,
Rudy Ricciotti, architecte, Grand prix national d’architecture,
Michèle Vlahos, Française résidant aux États-Unis où elle fonda la Massachussetts Lafayette Society de Boston,
Monde du Sport
Jeannie Longo, cycliste, championne olympique et du monde (100)*,
Maires et autres « société civile »
Isabelle Bouget, présidente de l’association « Français puissants, Français aisés »,
* Les noms suivis de : (100)* sont ceux de signataires de l’Appel des Cent adressé le 16 juin 2019 au Président de la République française, pour une politique du français et de la Francophonie.
Bonjour,
Merci de votre commentaire. Les langues régionales font partie du patrimoine historique français et doivent absolument être préservées. Comme le français, évidemment, langue du peuple français. Si le français disparaissait, c’est l’anglais, langue de l’impérialisme américain, qui s’imposerait. Quel cuachemar !
Jacques Nikonoff
entre monarchie et république, l’état français n’a eu et n’a de cesse d’attaquer la langue catalane; langue en voie de disparition en Catalunya-Nord. le catalan est à l’agonie, j’en fais mon deuil, comme je ferai mon deuil de la disparition de la langue des impérialistes français.